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MAUDITS SOIENT LES ARTISTES

MAUDITS SOIENT LES ARTISTES

SORTIE IMMINENTE DU 25EME ROMAN DE MAURICE GOUIRAN
C’est avec une belle constance et un insatiable appétit que Maurice Gouiran nourrit son oeuvre. Avec une opiniâtreté toujours curieuse et sans faille, il a cette incroyable capacité à dénicherpour chacun de ses romans, des faits, des hommes et ce qui relient les uns aux autres, l’Histoire, ses troubles, ses mensonges et ses saloperies... S’ensuit à chaque fois une intrigue non seulement riche et solide mais aussi un regard transversal qui nous change un peu de nos antiques Lagarde et Michard ! Les spoliations, la mise à l’index de l’art dégénéré, les camps d’internement, autant d’éléments, de tragédies, dont le dénominateur commun est l’Homme, toujours capable et quelle que soit l’époque, des pires exactions. On a beau le savoir, s’en méfier même, de tels romans sont toujours une indispensable et salvatrice piqûre de rappel... D’autant qu’entres découvertes historiques, badinages de son héros et empathie pour ses personnages, forts et attachants, lire un polar de Maurice Gouiran reste toujours un moment à part, une parenthèse privilégiée où les faits et la matière humaine se mêlent pour mieux nous étonner, nous apprendre et nous surprendre. Il n’y a que le talent de Maurice Gouiran pour réussir à lier ces univers !
«La découverte de 1500 œuvres d’art dans le petit appartement d’un octogénaire munichois, sept décennies après la fin de la guerre, fait ressurgir de vieux fantômes : le vieil homme n’est-il pas le fils d’un célèbre marchand d’art œuvrant pour le Reich ?
À Marseille, un modeste couple de retraités des quartiers nord, Valentine et Louis Bertignac, entame une procédure judiciaire afin de récupérer une dizaine de tableaux retrouvés à Munich.
Clovis Narigou, qui a un urgent besoin d’argent pour sauver sa bergerie et son troupeau, effectue quelques piges pour un grand magazine national. Ainsi, on le retrouve en Ariège, sur les traces d’un des plus grands mathématiciens du XXe siècle qui a fui le monde pour y mourir en ermite. Il va s’intéresser au camp de Rieucros, créé par Vichy en Lozère afin d’y interner exclusivement des femmes. Le matheux a séjourné avec sa mère.
Lorsque Clovis apprend que Valentine Bertignac a également été incarcérée à Rieucros, il n’a plus qu’une question en tête : qu’est-ce qui relie ces paisibles retraités marseillais au vieux Munichois ? Il lui faudra se plonger dans les années noires, dans la guerre que livra Goebbels à l’art dégénéré et le pillage des collections juives par Goering.
Tout se complique lorsqu’ une marmaille bruyante envahit la Varune et qu’il découvre l’assassinat sauvage des époux Bertignac au cours d’un bien curieux home-jacking.
Cette tuerie aurait-elle un lien avec la demande de restitution ?»

  • Parution : février 2016
  • Diffusion et distribution : Editions JIGAL

Une actualité dense pour Maurice Gouiran en 2015 :

Livres :
Une nuit trop douce pour mourir (février 2015, édition Jigal),
Franco la Muerte (août 2015collectif, éditions Arcane17)
Un plat qui se mange froid (collectif, SAMU social)

Rencontres littéraires :
Regards Noirs, Niort (février), Polar en Lumières (Vitrolles, février)
BC Negra, Barcelone (février), Festival des écrivains du sud, Aix-en-Provence (mars), Fête du Livre, Autun (avril), Médiathèque Salon (avril)
Parrain du salon de L’Instant Polar, Saint-Cyr (Vienne, avril), Festival transfrontalier du roman noir, Puigcerda (Espagne, mai), Polar au Paradou, Le Paradou (mai), Ancres Noires, Le Havre (juin)
Médiathèque Varages (juillet), Fête du Livre, Sablet (juillet)
Médiathèque Colmar-les-Alpes (juillet), CCAS Le Brusc (juillet)
Nocturnes, Cassis (août), Fête du Livre, Riez (août), Écrivains en Provence, Fuveau (septembre), Village du Livre, Fête de l’Huma, Paris (septembre), Voiles de la Paix, Marseille (septembre), Médiathèque La Tour d’Aigues (septembre), Terrasses du Port, Marseille (septembre)
Roman noir, Noves (octobre), Ancres Noires, Port-saint-Louis (octobre)